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Budget 2026 : les députés instaurent un cadre fiscal définitif pour l’investissement locatif
Budget 2026 : ce que le cadre fiscal définitif change pour l’investissement locatif
Le Budget 2026 acte un cadre fiscal définitif pour l’investissement locatif avec la création d’un véritable statut fiscal du bailleur privé. Voté par les députés à l’Assemblée nationale, ce dispositif s’applique aux acquisitions réalisées entre le 1er janvier 2026 et le 31 décembre 2028. Son cœur: un mécanisme d’amortissement en location nue longue durée, ciblé sur l’immobilier résidentiel et conditionné à des loyers inférieurs au marché.
Le principe est simple: une déduction fiscale annuelle d’une fraction du prix d’achat (hors terrain), à imputer sur les loyers. Pour le neuf, l’amortissement est fixé à 3,5%, majorable jusqu’à 5,5% si le bailleur pratique des loyers abordables nettement en dessous des prix de marché. Pour l’ancien, le taux est de 3%, +0,5 ou +1 point si les loyers relèvent du social ou du très social, sous réserve de travaux représentant au moins 20% du prix d’acquisition. Le bénéfice suppose un engagement de location de 12 ans, l’interdiction de louer à un membre de la famille proche, et un plafonnement de l’amortissement à 8 000 € par an.
Ce compromis, salué comme un outil pragmatique pour relancer la production de logements accessibles, intervient alors que la fiscalité immobilière a été largement débattue. Les élus ont, dans le même mouvement, limité l’amortissement en meublé: le régime réel pour les loueurs meublés passe à 2% d’amortissement, afin de rééquilibrer les arbitrages en faveur de la location nue longue durée. Ce recentrage répond à l’extinction de l’ancien Pinel, jugé coûteux et inégalement efficace; pour mémoire, voir l’analyse dédiée sur la fin du Pinel.
Dans les faits, ce cadre dessine une trajectoire claire pour les trois prochaines années. Les investisseurs doivent viser des appartements neufs (les maisons sont exclues du neuf) ou des biens anciens à réhabiliter, avec une cible de loyers intermédiaires (environ −15% vs marché), sociaux ou très sociaux. Au-delà de l’avantage fiscal, la réussite passera par le choix du micromarché, la maîtrise du coût des travaux et la finesse de la gestion locative. Pour bâtir la feuille de route, un guide pas-à-pas peut être élaboré à partir d’une stratégie d’investissement adaptée et d’une bonne lecture des villes françaises où investir.
Points clés à retenir et angles morts
Ce dispositif vise la rentabilité nette et la stabilité de l’offre locative. Il ne conviendra pas à tous les profils, notamment si l’horizon est court ou si le projet repose sur des loyers au prix du marché. Le plafonnement à 8 000 € d’amortissement oblige à calibrer l’emprunt et la valeur du bien pour éviter une “perte sèche” d’avantage. Reste la question de la revente: l’optimisation sur 12 ans doit s’aligner avec la liquidité locale et les perspectives de plus-value.
- 🏛️ Cadre fiscal voté par les députés: amortissement en location nue, loyers encadrés.
- 📅 Période d’éligibilité: 2026 à 2028 pour l’acquisition, engagement de location 12 ans.
- 🏢 Neuf: appartements uniquement, 3,5% d’amortissement, jusqu’à 5,5% si loyers très abordables.
- 🏚️ Ancien: 3% (+0,5/+1 pour social), travaux ≥ 20% du prix.
- 💶 Plafond: 8 000 € d’amortissement par an.
- 🧾 Meublé: amortissement ramené à 2% au régime réel pour rééquilibrage.
- 🔎 Stratégie: arbitrer avec la fiscalité de l’investissement immobilier globale et les règles de plus-value.
| Avant 2026 🕰️ | Cadre 2026-2028 ✅ | Effet rentabilité 📈 |
|---|---|---|
| Pinel en extinction | Amortissement location nue | Gain net si loyers adaptés |
| LMNP amortissement généreux | LMNP à 2% (régime réel) | Arbitrage vers la nue |
| Loyers libres | Loyers intermédiaires/social | Stabilité locative 🏠 |
| Horizon court | 12 ans d’engagement | Vision long terme ⏳ |
En synthèse, l’esprit de la loi fiscale 2026 est clair: encourager la location accessible, sécuriser la rentabilité par l’amortissement, et éviter le « tout meublé » spéculatif.

Amortissement, loyers encadrés et engagement de 12 ans : chiffrer la rentabilité
Pour se projeter, considérons Camille, ingénieure, et Rachid, infirmier libéral. Ils ciblent un T2 neuf à 260 000 € en zone tendue, avec loyer intermédiaire (−15% vs marché). Avec un taux d’amortissement de 3,5%, l’assiette amortissable (hors terrain estimé à 10%) s’élève à 234 000 €; l’amortissement annuel serait alors d’environ 8 190 €, mais plafonné à 8 000 €. Cet amortissement vient réduire le revenu foncier imposable, générant un gain fonction de la tranche marginale d’imposition et des prélèvements sociaux.
Dans l’ancien, si Rachid achète un T3 à 180 000 € avec 40 000 € de travaux (≥20%), l’assiette amortissable avoisine 220 000 €. À 3%, l’amortissement annuel cible 6 600 €, porté à 7 700 € s’il pratique un loyer social (+0,5 point) ou 8 800 € en très social (+1 point), sous réserve du plafond de 8 000 €. Là encore, la mécanique dépend du loyer plafonné et de la vacance maîtrisée.
Le calcul doit intégrer cash-flow, fiscalité et effort d’épargne. À l’achat, les frais annexes (notaire, garantie, travaux) pèsent sur la trésorerie; en gestion, les charges récurrentes (copropriété, entretien, assurance, taxe foncière) et la maintenance énergétique influencent la performance. Des repères utiles: frais de notaire en indivision pour les achats à plusieurs, ou encore les meilleures villes françaises où investir pour calibrer le ratio loyer/prix.
Scénarios chiffrés et effets fiscaux
Le tableau ci-dessous compare trois cas simples. Il ne remplace pas une étude personnalisée, mais aide à comprendre les ordres de grandeur et l’impact de l’amortissement sur l’impôt.
| Scénario 🧮 | Assiette amortissable | Taux | Amortissement annuel | Gain fiscal estimé 💡 |
|---|---|---|---|---|
| Neuf intermédiaire | 234 000 € | 3,5% | 8 000 € (cap) ✅ | ~3 000–4 000 € selon TMI 🙂 |
| Ancien social | 220 000 € | 3,5% | 7 700 € | ~2 800–3 800 € |
| Ancien très social | 220 000 € | 4% | 8 000 € (cap) ✅ | ~3 000–4 000 € |
Pour affiner, l’impact sur la revente s’examine à l’aune des règles sur la plus-value, même en cas d’amortissement. Une lecture utile des dispositifs de plus-value aide à anticiper l’issue d’un engagement long.
- 🧩 Hypothèse de loyers: −15% vs marché en intermédiaire, plus bas en (très) social.
- 📊 Plafond d’amortissement: 8 000 €; au-delà, l’intérêt marginal s’érode.
- 🧯 Vacance maîtrisée: priorité aux emplacements liquides et aux critères de demande.
- 🔧 Travaux dans l’ancien: seuil 20% indispensable pour l’éligibilité.
- 🧭 Ville et microquartier: s’inspirer d’une stratégie d’investissement éprouvée.
Dernier point: l’arbitrage financement/loyer. Des villes au rendement facial plus élevé ne garantissent pas la meilleure performance si le plafond de loyer est trop bas par rapport au prix. Une analyse des risques liés aux prix reste essentielle pour protéger le rendement net.
Location nue vs meublée, SCI et bailleur privé : quelles options avec la loi fiscale 2026 ?
Le nouveau cadre fiscal rééquilibre les stratégies. La location meublée (LMNP/LMP) conserve ses atouts opérationnels, mais l’amortissement au taux unique de 2% en régime réel réduit sa supériorité fiscale. À l’inverse, la location nue sous statut du bailleur privé bénéficie d’un amortissement plus généreux, à condition d’accepter des loyers encadrés et un engagement de 12 ans. Comment arbitrer?
Sur le plan patrimonial, trois dimensions priment: flexibilité, fiscalité et liquidité. Le meublé offre une rotation plus rapide, pratique pour la colocation ou les mobilités, mais souffre d’un avantage fiscal amoindri. La nue amortie privilégie la stabilité et la visibilité. Pour ceux qui investissent via société, la SCI à l’IR reste simple pour la transmission; à l’IS, l’amortissement comptable peut être puissant mais implique une fiscalité sur la plus-value différente et une gouvernance plus lourde.
Comparatif opérationnel
Le tableau suivant résume les grandes lignes pour cadrer la décision. L’objectif: aligner profil d’investisseur, horizon et objectifs de trésorerie.
| Option ⚖️ | Atouts | Alertes ⚠️ | Pour qui ? 👤 |
|---|---|---|---|
| Location nue amortie | Amortissement 3–5,5%, stabilité, vacance faible | Loyers encadrés, horizon long (12 ans) | Investisseur long terme 🧭 |
| LMNP (régime réel) | Souplesse d’usage, gestion meublée | 2% d’amortissement, turnover | Exploitant aguerri 🧰 |
| SCI IR/IS | Montage patrimonial, mutualisation | Complexité juridique, fiscalité revente | Projet familial 👨👩👧👦 |
| SCPI | Gestion déléguée, diversification | Risque de liquidité | Approche passive 💼 |
La comparaison doit intégrer les tendances sectorielles. Des ressources comme l’analyse des liquidités des SCPI ou l’étude sur les investissements retail permettent d’orienter la diversification. Côté innovation, le prisme RSE et performance énergétique influence les loyers et la vacance dans les marchés tendus.
- 🧠 Objectif prioritaire: flux net après impôts ou valorisation à terme?
- 🗺️ Localisation: marchés profonds, axes de transport, tension locative.
- 🛠️ Gestion: interne vs mandatée; coût et qualité des prestataires.
- 📚 Cadre juridique: baux, garanties, honoraires, travaux réglementaires.
- 🔄 Sortie: horizon et scénario de revente maîtrisés.
La qualité de l’information est clé: croiser une analyse de marché avec des avis d’experts aide à éviter les angles morts.

Sélectionner un bien éligible et négocier au bon prix
La performance du dispositif dépend avant tout du bien choisi. Le neuf doit être un appartement, bien situé, avec charges maîtrisées et prestations durables. L’ancien impose un plan de travaux sérieux pour franchir le seuil 20%, tout en conservant un reste à vivre locatif confortable. La demande locale doit être suffisamment profonde pour absorber un loyer intermédiaire ou social sans vacance excessive.
Le diagnostic technique compte. Dans les zones périurbaines, un diagnostic d’assainissement peut s’ajouter si le bien n’est pas raccordé. En copropriété, budget travaux et historique des assemblées s’examinent de près. Côté marché, des villes comme Menton offrent des loyers porteurs mais des prix élevés; des territoires comme la Drôme-Ardèche combinent tickets d’entrée modérés et demande étudiante/senior, favorables au taux d’occupation.
Check-list de prospection
Une prospection efficace optimise le couple rendement/risque sur 12 ans. Les critères ci-dessous réduisent les mauvaises surprises et fluidifient la négociation.
- 📍 Emplacement: proximité transports, bassin d’emplois, services essentiels.
- 🏗️ Travaux: audits chiffrés, artisans qualifiés, planning réaliste.
- 🔌 Énergie: DPE performant, charges de chauffage contenues.
- 💬 Comparables: loyers réels des logements similaires en loyer intermédiaire.
- 🤝 Accompagnement: s’appuyer sur une agence locale à Gagny ou autre marché ciblé.
| Critère 🔍 | Seuil/objectif 🎯 | Impact rentabilité 💶 |
|---|---|---|
| Prix au m² | Inférieur au neuf local de 10–20% | Améliore rendement 🟢 |
| Travaux | ≥ 20% (ancien éligible) | Débloque l’amortissement 🚀 |
| DPE | C ou mieux (idéal) | Vacance réduite 🌡️ |
| Charges de copro | < 25 €/m²/an | Préserve cash-flow 💧 |
La négociation suit la logique de la rentabilité nette. Un vendeur sensibilisé aux contraintes de loyer acceptera plus volontiers une offre raisonnable si le dossier prouve la solidité du financement et le sérieux du plan de travaux. En complément, la connaissance des micro-tendances locales (ex. ventes récentes à Gagny) aide à ancrer le prix.
En filigrane, les investisseurs peuvent s’inspirer de retours d’expérience: la tendance NERI dans certains marchés ou des éclairages d’élus comme Didier Mathus sur la dynamique locale. L’idée-force: aligner le prix d’acquisition avec un loyer encadré crédible et pérenne.
Calendrier, risques et leviers d’optimisation fiscale en 2026-2028
Le rythme d’exécution conditionne la réussite. L’acquisition doit intervenir entre 2026 et 2028, suivie de la mise en location dans les règles et du respect du bail encadré. Les investisseurs gagnent à planifier la trésorerie travaux, à caler l’échéancier bancaire et à sécuriser les pièces justificatives (baux, avis d’imposition, attestations de loyer, factures).
Les risques principaux: un prix d’achat trop élevé au regard du loyer encadré, des travaux insuffisants (ancien), ou une vacance imprévue. L’amortissement à 8 000 € de plafond oblige à dimensionner le projet; au-delà, l’avantage fiscal non utilisé est perdu. Côté meublé, l’amortissement ramené à 2% incite à revisiter les business plans en colocation ou location saisonnière, avec une bascule partielle possible vers la location nue là où la demande justifie un engagement long.
Plan d’action par étapes
- 🗓️ M-6 à M-3: étude de marché, simulations, préaccord bancaire, repérage des lots.
- 📑 M-2: offre, audit technique, chiffrage travaux, montage dossier.
- 🖊️ M-1: compromis, financement, sécurisation artisan/architecte.
- 🏗️ M à M+4: acte, travaux (ancien), mise en location encadrée.
- 📈 M+12: suivi des loyers, indexation, reporting fiscal et patrimonial.
| Élément clé 🔑 | Bonne pratique ✅ | Risque si ignoré ⚠️ |
|---|---|---|
| Loyer encadré | Benchmarks locaux documentés | Vacance, refus dossier 😕 |
| Travaux (ancien) | Devis détaillés, seuil 20% | Inéligibilité au régime 🛑 |
| Fiscalité | Simulateur TMI/PS, plafond 8k | Optimisation perdue 💸 |
| Sortie | Scénario à 12 ans, plus-value | Mauvais timing, décote ⏳ |
Pour se situer dans l’histoire des dispositifs, un retour vers la prorogation du Scellier éclaire l’évolution des incitations. Aujourd’hui, la logique privilégie l’amortissement plutôt que la réduction d’impôt frontale, afin d’ancrer les loyers. En complément, des stratégies d’investissement ajustées aux profils (salarié, libéral, SCI familiale) consolident la trajectoire sur 12 ans.
En dernière analyse, l’optimisation reste une affaire de cohérence: juste prix, loyer soutenable, opérabilité des travaux, et gestion rigoureuse. Ce nouveau cadre fiscal apporte la visibilité attendue; aux investisseurs de la convertir en rendement net et en valeur d’usage pour les locataires.
Études de cas: comment sécuriser la rentabilité avec des loyers sous le marché
Étude 1 – T2 neuf en zone A. Prix acte en mains 260 000 €, loyer intermédiaire −15%, charges faibles, vacance quasi nulle. L’amortissement 3,5% capé à 8 000 € compense largement l’effort d’épargne initial; la valeur patrimoniale reste soutenue par la tension du secteur. Une clause de ravalement planifiée et un syndic réactif capent les charges et préservent la rentabilité.
Étude 2 – T3 ancien centre-ville. Prix 180 000 €, travaux 45 000 € (≥20%), loyer social. Amortissement 3,5% (3% + 0,5) soit 7 700 €/an, vacance 4% anticipée, taxe foncière modérée. Ici, le différentiel loyer/prix impose un achat décoté; la qualité des travaux et l’étiquette énergétique post-rénovation deviennent déterminantes pour attirer un ménage familial stable.
Étude 3 – Colocation meublée reconfigurée. Un investisseur exploitant en meublé constate l’impact du 2% d’amortissement et choisit de basculer une partie du parc en location nue encadrée. Résultat: baisse du turnover, marketing simplifié, et rentabilité nette qui se stabilise grâce à l’amortissement plus élevé et des coûts de remise en état moindres.
Outils et ressources pour décider vite et bien
Pour documenter les hypothèses, croiser des sources reste indispensable. Les retours de terrain, les avis d’agents et les publications spécialisées forment un tout cohérent. Des repères concrets: cartographies de marchés actifs, retours d’expérience via des avis d’experts, et recul macro de l’analyse de marché.
- 🧭 Alignement objectifs/outil: nue amortie pour stabilité, meublé ciblé pour flexibilité.
- 🧱 Construction du coût: tout-inclus (frais, travaux, ameublement éventuel, maintenance).
- 🧮 Stress tests: +1% de taux, +10% de travaux, −5% de loyer.
- 📂 Traçabilité: dossiers locataires solides, preuves de loyer encadré, factures.
- 🌍 Diversification: géographique et par typologie (T1/T2/T3) pour réduire la vacance.
| Cas pratique 🧪 | Décision prise 🧠 | Résultat attendu 📊 |
|---|---|---|
| T2 neuf zone tendue | Loyer intermédiaire, syndic pro | Cash-flow neutre + avantage fiscal 😊 |
| T3 ancien + travaux | Négociation −8%, loyer social | Rendement net stabilisé ✅ |
| Colocation meublée | Migration partielle en nue | Turnover réduit, coûts moindres 🔧 |
Pour prolonger la réflexion, certains marchés périphériques sous-valorisés méritent un regard neuf; des données locales comme Drôme-Ardèche ou les corridors azuréens (Menton) aident à bâtir un pipeline d’opportunités, selon la tension locative et le ticket d’entrée.
Quels biens sont éligibles au nouvel amortissement en location nue ?
Les appartements neufs (maisons exclues) et les logements anciens avec travaux représentant au moins 20% du prix d’acquisition. Les loyers doivent être intermédiaires, sociaux ou très sociaux, et le bailleur s’engage à louer 12 ans.
Le plafonnement à 8 000 € par an limite-t-il l’intérêt du dispositif ?
Il impose de calibrer l’achat : au-delà, l’amortissement non utilisé est perdu. Dans la plupart des projets de 180 000 à 280 000 €, le plafond est suffisant pour neutraliser une grande partie du revenu foncier.
Pourquoi l’amortissement du meublé passe-t-il à 2% ?
Pour rééquilibrer les arbitrages en faveur de la location nue longue durée et encourager une offre de logements abordables. Le meublé reste pertinent opérationnellement, mais son avantage fiscal est réduit.
Peut-on louer à un membre de sa famille ?
Non. Le dispositif exclut la location aux ascendants/descendants et collatéraux proches. Le respect des critères de loyer et de durée est aussi impératif.
Comment sélectionner la ville d’investissement ?
Ciblez un marché profond, bien desservi, avec vacance basse et loyers lisibles. Appuyez-vous sur des cartographies à jour des villes actives et sur des professionnels locaux reconnus.
Partie de zéro, Anaïs s’est formée seule avant d’acquérir plusieurs biens en colocation. Elle explore sans relâche les niches rentables et alternatives, partageant ses découvertes avec enthousiasme et franchise.
Camille Dubois
16 novembre 2025 at 17h25
Le statut fiscal du bailleur privé semble intéressant pour du long terme.
Zéphyr Lytton
16 novembre 2025 at 17h25
Cet article explique bien comment investir en locatif avec les nouvelles règles fiscales.
Zéphirin Lumina
16 novembre 2025 at 21h03
Excellente vue d’ensemble sur le nouveau cadre fiscal pour l’immobilier.
Xylina Quorl
17 novembre 2025 at 0h06
Ce cadre fiscal semble complexe mais promet d’encourager l’investissement sécurisé.
Zéphyr Solaris
17 novembre 2025 at 7h07
Très informatif sur l’investissement locatif et ses implications fiscales !
Zypher Odelian
17 novembre 2025 at 7h07
Article très clair sur les changements fiscaux pour les investisseurs !